Drikung Kagyu Mila Center, Khenpo Tashi Rinpoche sera de retour en France en janvier 2024 calendrier des activités à Mila Rechen Center ( Bonny- sur-Loire ) et à Paris.

 


nous sommes heureux de vous communiquer que prochain et un riche programme d'enseignements et rituels est déjà prévu à Bonny-sur-Loire. Il sera accompagné par un groupe de vénérables moines et khenpos, qui à leur tour partageront leur précieuse connaissance du Dharma. Voici donc  :


Week-end du 13 et 14 janvier
Samedi 13

10h-12h : puja des 100 torma gyatsa
Pause déjeuner 
14h30-16h : méditation 
17h : Washing Puja
18h : dîner

19h : Mahakala puja

Dimanche 14 
9h-12h : Guru Yoga de Milarepa
Pause  déjeuner 
13h30-15h : méditation 

Pour l'insccription, cliquez ici

20 et 21 janvier : week-end d'enseignements sur les Chants de Milarépa
Samedi 20
11h-12h30 : première session
Pause déjeuner 
14h30-16h : deuxième session
17h : Washing Puja
18h : dîner
19h : Mahakala puja


Dimanche 21
8h30-10h : troisième session
Pause thé 
10h30-12h : quatrième session
Pause déjeuner 
13h30-15h : méditation 

( Enseignements avec traduction en français et en anglais )

Pour l'inscription, cliquez ici

Jeudi 25 janvier :
Soirée d'enseignements à Paris : comment faire face au stress, par Khenpo Rangdol
( En anglais avec traduction française )
Pour l'inscription, cliquez ici

27 et 28 janvier : retraite de méditation shamatha et vipashyana, avec Khenpo Rangdol
Samedi 27
11h-12h30 : première session
Pause déjeuner 
14h30-16h : deuxième session
Pause thé 
16h30-17h : méditation 
17h : Washing Puja
18h : dîner

19h : Mahakala puja

Dimanche 28
8h30-10h : troisième session
Pause thé 
10h30-12h : quatrième session
Pause déjeuner 
13h30-15h : méditation 

( Enseignements en anglais avec traduction française )
Pour l'inscription, cliquez ici


Du 10 février au 17 février, grande Achi Puja et Dzambhala Puja à Bonny-sur-Loire

Les deux pujas seront célébrées par Khenpo Tashi, accompagné par un groupe de moines et de nonnes, et auront lieu aux dates suivantes :
Du 10/02 au 14/02 : Achi Puja
Du 15/02 au 17/02 : Dzambala puja. 

Nous communiquerons les détails des horaires et du programme lors d’une prochaine newsletter.


Retraite d'été 2024 :

La prochaine retraite aura lieu à Bonny du 11 au 17 juillet 2024. Nous vous tiendrons prochainement au courant pour les modalités d'inscription. 
   

Sa Sainteté Gyalwang Drikungpa Drikung Powa à Paris.

Sa Sainteté GYALWANG DRIKUNGPA qui sera en France le 26 et 27 octobre pour l'enseignement de POWA et pour les initiations et enseignements d'Amitabha, Tara et Dorjé Sempa à PARIS.

GYALWANG DRIKUNGPA
 GYALWANG DRIKUNGPA
Könchok Tenzin Kunzang Trinley Lhundrup aussi appelé Drikung Chetsang Rinpoché et Drikung Kyabgön Chetsang ou Gyalwang Drikungpa né le 24 juillet 1946 est le 37e  actuel détenteur du trône de la lignée Drikung Kagyu du bouddhisme tibétain et il est reconnu comme étant une manifestation de Tchenrézi (Avalokiteshvara) et en même temps, une incarnation du Seigneur Jigten Sumgön (Rinchen Pal).
Il est né en 1946, le 4e jour du 6e mois tibétain de l’année du chien de feu, dans la famille Tsarong à Lhassa au Tibet. Ce jour coïncide avec l'anniversaire du premier enseignement du Dharma par le Bouddha Sakyamuni. De nombreux signes prodigieux et visions accompagnèrent sa naissance.
Son grand-père, Dasang Damdul Tsarong (1888-1959) a été le favori du 13e Dalaï-lama (1876-1933), commandant général de l'armée tibétaine et l'une des figures politiques les plus influentes du début du xxe siècle. Son père, Dundul Namgyal Tsarong (1920-2011), tint de hautes fonctions administratives qu'il continua d'occuper à Dharamsala après la fuite du 14e Dalaï-lama. Sa mère, Yangchen Dolkar, est la fille de la famille Ragashar, descendant de l'ancienne dynastie royale.
Quelques années après la mort du précédent Drikung Kyabgön, Shiwé Lodro (1886-1943), sa réincarnation fut recherchée à travers le Tibet. Sur la base d’une vision de la régente de Drikung Tritsab Gyabra Rinpoché (1924-1979) au lac Lhamo-Latso et, selon de nombreux autres signes divinatoires, le fils de la famille Tsarong fut reconnu comme la réincarnation du Drikung Kyabgön. Le garçon fut soumis à plusieurs tests tels que l'identification d’objets rituels ayant appartenus à ses incarnations antérieures. Sa réincarnation fut ensuite confirmée par des divinations de Taktra Rinpoché (le régent du Tibet), Sa Sainteté le 16e Karmapa et Son Eminence le 6e Taklung Matrul Rinpoché.
À l'automne 1950, juste avant l’invasion chinoise du Tibet, eut lieu l'intronisation officielle de Drikung Kyabgön Chetsang au très sacré monastère de Drikung Thil, le principal monastère Drikung Kagyu. Il résidait tour à tour dans l'un des quatre principaux monastères : Drikung Tse au printemps, Drikung Thil en été, Drikung Yangar Thubten Dezhi Rabgyeling à l'automne et Drikung Dzong pendant l'hiver, le centre administratif de Drikung.
Ses instructeurs spirituels (yongzin), Tritsab Gyabra Rinpoché furent chargés de son éducation. Son programme comprenait la lecture, l’écriture, la mémorisation, l'astrologie et la grammaire. De ses yongzin, mais aussi d'autres maîtres dont Bhalok Thupten Chodrak Rinpoché, Lho Bongtrul Rinpoché et Nyidzong Tripa, il reçut les habilitations de base, les transmissions et enseignements généraux de la tradition Kagyupa et en particulier de Drikung Kagyu.
À l'âge de onze ans, Drikung Kyabgon Chetsang donna son premier enseignement public ainsi que sa première transmission. Plus tard, il commença ses études philosophiques au Nyima Changra Monastic College de Drikung. Bien qu'il fut plus jeune de quatre ans, il étudia avec Chungtsang Rinpoché, le deuxième détenteur de la lignée Drikung. Son instructeur, Bopa Tulku Dongag Tenpa (1907-1959), l’introduisit à la philosophie du Madhyamaka. Il étudia tout d'abord des textes de base, comme les 37 pratiques des Bodhisattvas par Ngulchu Thogme Zangpo et la Marche vers lEveil (le Bodhicharyāvatāra par Shāntideva).
À la suite du soulèvement tibétain de 1959, plusieurs négociations furent engagées afin de mettre en sécurité Chetsang Rinpoché et son frère spirituel Chungtsang Rinpoché hors du Tibet, mais celles-ci échouèrent en raison de la résistance inflexible de la gestionnaire du monastère. À cette époque, la famille de Rinpoché avait déjà quitté le Pays des Neiges depuis 1956 pour se réfugier en Inde.
Les moines du monastère de Drikung furent mis en résidence surveillée. Chetsang Rinpoché dut endurer avec eux des mois d’endoctrinements communistes. Plus tard, Tritsab Gyabra qui avait quitté le monastère quelques années auparavant, recueillit Rinpoché et l'emmena avec lui à Lhassa où ils vécurent ensemble dans des conditions plutôt difficiles.
En 1960, Chetsang Rinpoché fut admis dans une école élémentaire à Lhassa. Très vite, il maîtrisa les sujets de plusieurs classes et acheva le cursus de formation en trois ans seulement au lieu de six.
Puis, il fut admis au collège Jérag Lingka. Les disciplines comprenaient le chinois, les sciences naturelles, l'histoire et la biologie. Chetsang Rinpoché excellait dans ses études, surtout dans l’apprentissage de la langue chinoise. Il devint aussi un athlète et un joueur de football accompli.
En 1966, lorsque les gardes rouges s'infiltrèrent dans les écoles tibétaines au début de la révolution culturelle, les classes et les entreprises s'arrêtèrent. Durant cette période trouble, les Rinpochés et de nombreux aristocrates subissaient la brutalité des « tribunaux du peuple ». Chetsang Rinpoché ne pouvait plus rester avec Tritsab Gyabra qui était tombé en disgrâce. Il vécut alors dans les bâtiments de l'école avec quelques autres camarades et étudia les ouvrages qu'il trouvait dans la bibliothèque, pendant que Lhassa sombrait dans le chaos. Dans l'anarchie la plus totale, Rinpoché fut plusieurs fois sauvé d'une mort certaine.
En 1969, il fut assigné dans une « unité de travail » située dans la campagne où il fut contraint à un travail physique éreintant. Il logeait dans une cabane délabrée et ne possédait qu'un pot de terre, un bol et une natte pour dormir. Un oncle, qui passa un jour lui rendre visite, fut attristé de cette situation, consterné de voir son neveu vivre dans des conditions aussi misérables. Cependant, il fut étonné de la grande sérénité de Chetsang Rinpoché face aux nombreux bouleversements de sa vie. Il était semblable à Milarépa, reclus dans des grottes inconfortables et austères en apparence, mais empli d'une vie spirituelle intérieure excessivement riche.
Chetsang Rinpoché travaillait dans les champs au printemps et en été. À l'automne, il escaladait les montagnes afin de couper du bois de chauffage dédié à la communauté, transportant de lourdes charges. En hiver, il s’occupait des eaux usées provenant des fosses de Lhassa. En dépit de ce dur labeur, il venait en aide aux autres personnes chaque fois qu'il le pouvait. Tous ignoraient qu'il était le Drikung Kyabgön Chetsang.
Du fait de ses origines aristocratiques et de sa qualité de haut lama réincarné, il n'y avait aucune perspective favorable pour Chetsang Rinpoché dans un Tibet occupé par le communisme chinois. C'était la période où la Chine avait mis en place un réseau d'espions et d'informateurs sur tout le territoire tibétain, placé sous l’autorité et le contrôle étroit de l'armée. Après une planification minutieuse, Rinpoché trouva finalement un moyen de s’échapper en 1975. Il franchit seul la frontière népalaise à travers les glaciers et les hauts cols. Chetsang Rinpoché accomplit ce qui était considéré comme impossible. Il parvint, indemne, au Népal, puis rejoignit la résidence du Dalaï-lama à Dharamsala.
Rinpoché fut reconnu par les lamas Drikung en exil et fut à nouveau intronisé symboliquement comme le Drikung Kyabgön Chetsang lors d'une cérémonie en présence du 14e Dalaï-lama. Après avoir fait la promesse de prendre la responsabilité de la lignée à l'avenir, il se rendit aux États-Unis où ses parents avaient émigré dans l'intervalle. Il y apprit l'anglais tout en subvenant à ses besoins à l’aide d’un emploi à temps partiel dans des restaurants comme McDonald's.
Au cours de la troisième année de son séjour américain, il reçut un texte tibétain antique très rare, découvert au Népal et traitant de l'histoire des détenteurs du trône de la lignée Drikung qui avait été rédigé par son ancienne incarnation, le 4eGyaltsen de Péma Chetsang (1770-1826). Il analysa ce texte et étudia l'histoire du Tibet, de Drikung Kagyu et de ses incarnations anciennes. Peu de temps après, en 1978, il retourna en Inde prendre la charge de la lignée Drikung Kagyu en tant que détenteur du trône.
Durant sa vie de laïque au Tibet puis aux USA, Chetsang Rinpoché maintenait une strict observance de ses vœux de moine en attendant d'intégrer le monastère de Phyang (en:Phyang Monastery) au Ladakh. Aussitôt, il entra dans une retraite traditionnelle de trois ans au monastère de Lamayuru, placée sous la direction du maître de méditation Kyunga Sodpa Gyatso (1911-1980).
Drikung Kyabgön Chetsang Rinpoché étudia avec de nombreux lamas et Rinpochés de différentes traditions dont il reçut les enseignements et initiations. Il considère Dilgo Khyentse Rinpoché (1910-1991) comme l'un de ses professeurs les plus importants. Il reçut de sa part, les enseignements essentiels du bouddhisme tibétain, notamment les suprêmes enseignements du Dzogchen (Nyingtig Yashi), ainsi que les écrits de Jamgon Kongtrul Rinpoché (Gyachen Kadzo) et le Trésor de la transmission orale des Kagyupa.
En outre, il reçut de précieux enseignements et habilitations du Dalaï-lama (Chakrasamvara, Kālachakra et Yamantāka), de Sa Sainteté le 16e Karmapa (les Six yogas de Nāropa et Milarépa), de Sa Sainteté Taklung Shabdrung Rinpoché (transmission des enseignements Taklung Kagyu) et de Taklung Tsetrul (les Trésors du Nord). Il étudia la philosophie bouddhiste avec Khenpo No Ryang, dans le monastère de Drukpa Kagyu Sangag Choling, au Bhoutan, qui lui donna un enseignement sur le Bodhicharyāvatāra de Shāntideva, le Madhyamakāvatāra de Chandrakīrti et le Uttara Tantra.
Khenpo No Ryang lui transmit également les enseignements de la tradition Kagyupa et des enseignements particuliers de Drukpa Kagyu sur le Mahāmudrā. Par ailleurs, Chetsang Rinpoché reçut d’importantes habilitations Drikung Kagyu et enseignements sur le Mahāmudrā de Son Eminence Garchen Rinpoché et Drubwang Konchog Norbu.
En 1985, Chetsang Rinpoché reçut l'ordination complète de moine de Sa Sainteté le 14e Dalaï-lama au cours de l'initiation de Kalachakra à Bodh-Gayâ.
Il relèvait tous les défis avec une facilité remarquable. En 1987, Chetsang Rinpoché commença à prodiguer des enseignements dans de nombreux pays, à travers le monde. À Dehradun, en Inde, il fonda le Drikung Kagyu Institute, comprenant le monastère de Jangchubling, le Centre de retraite et le couvent Samtenling. Le Drikung Kagyu Institute met l'accent, à la fois, sur l'éducation monastique traditionnelle et sur une formation répondant aux besoins de notre époque. Une attention particulière est également portée sur la discipline, la pratique de la méditation et les spécialités des enseignements Drikung Kagyu.
En 2003, Chetsang Rinpoché établit près de son monastère un magnifique édifice : la bibliothèque de Songtsen, un centre d'études tibétaine et himalayenne. Cette bibliothèque incarne l'essence de la vision de Rinpoché : ce lieu est un trésor, un think-tank pour l'identité culturelle et spirituelle des peuples de la région himalayenne et plus particulièrement de la lignée Drikung Kagyu. Le bâtiment contient des textes rares portant sur tous les sujets de la région himalayenne, des travaux sur la culture tibétaine, sa tradition, la géographie et bien entendu, des textes bouddhistes issus de toutes les écoles. Il abrite une importante collection des célèbres manuscrits de Dunhuang, découverts le long de la route de la soie. C'est là que furent également mis au jour des textes d'une richesse inimaginable datant du ive au xie siècle rédigés dans différentes langues. La littérature tibétaine comprend à elle seule des milliers de manuscrits de toutes sortes, y compris le premier dessin médical tibétain connu à l'heure actuelle. Aussi, afin de préserver toute cette culture, Chetsang Rinpoché rendit-il accessibles aux chercheurs ces textes rares et anciens portant sur la première période du Tibet.
En 2005, près de la bibliothèque de Songtsen, Chetsang Rinpoché construisit le College for Higher Bouddhist Studies (Shédra), le Kagyu College.
En 2011, un terrain fut béni par des grands lamas Drikung Kaygu et par Sa Sainteté Drikung Kyabgon Chetsang dans le cœur de la lande de Lunenburg (Allemagne) pour y édifier le Centre de retraite de Milarépa, le principal centre de Drikung Kagyu en Europe, organisant des Drubchen ainsi que la traditionnelle retraite de trois ans. En France, l’Institut du Bouddhisme tibétain Drikung Kagyu Rinchen Pal est le principal centre Drikung placé sous l’autorité spirituelle du Vénérable Drubpon Tharchin Rinpoché, représentant de Sa Sainteté en France.


Que l’on soit bouddhiste ou non, le simple fait de participer à l’enseignement et l’initiation du grand Drikung Powa (spécificité de la lignée Drikung Kagyu), permet d’obtenir la longue vie, l’absence de maladie, la diminution des passions et de tout attachement samsarique, bien-être et bonheur excellents, et permettra, dans la prochaine vie, de renaître en une existence supérieure : humaine ou divine, d’où il sera possible d’obtenir le grand éveil et d’acquérir le pouvoir d’aider les innombrables êtres.

Cette pratique a d’incommensurables qualités et est en harmonie avec toutes les traditions du monde. Elle est uniquement délivrée par des grands maîtres autorisés tels que Sa Sainteté Gyalwang Drikungpa, Son Eminence Ayang Rinpoché et le très Vénérable Drubpön Tharchin Rinpoché. 

billetweb.fr/sa-saintete-gyalwang-drikung-pa-a-paris



bouddhismetibetainfrance.com
hisholinessenfrance.wordpress.com
Organisateur
INSTITUT DRIKUNG KAGYU RINCHEN PAL
19 RUE ERIDAN, 91100, VILLABE, France
Tel : +33(0)768673613
drikungkagyuparis.blogspot.com

Festival pour la Paix 2018, Temple pour la Paix avec Lama Gyurmed.

Le Festival pour la Paix 2018 aura lieu les 8 et 9 septembre à la Grande Pagode de Paris.

Ce sera une nouvelle occasion de manifester notre engagement à l’édifice du Temple et à son objectif de contribution pour la Paix.

Festival pour la paix 2018

Projet du Temple pour la paix
Présentation du projet
Dans un Occident dont les valeurs sont sans cesse remises en cause, nos sociétés en quête de sens et de perspectives se tournent de plus en plus vers le bouddhisme.

Depuis le VIIIe siècle, des bâtisseurs inspirés par ses valeurs ont érigé dans la région himalayenne des stoupas, des temples et des monastères dédiés à la sagesse et à la compassion. De nos jours, également imprégnés de cette même énergie de paix et de sérénité, de nombreux monuments ont progressivement vu le jour en Europe et aux Etats- Unis.

C’est dans cet esprit, en se référant à vingt-cinq siècles de spiritualité bouddhiste, que le Temple pour la Paix s’élèvera prochainement sur le site de la congrégation Vajradhara Ling, à Aubry-le-Panthou, en plein cœur de la Basse-Normandie.

Au sein des cultures bouddhistes, le temple lui-même représente un support parfaitement pur, un espace sacré qui rassemble pratiquants et visiteurs dans un état de recueillement respectueux, favorable à la méditation et à la réflexion. Il est aussi un lieu d’éducation dans des domaines aussi variés que la médecine, la philosophie, l’art des débats et des sciences.

Le Temple pour la Paix proposera une approche bouddhiste de la paix intérieure à travers des enseignements, des techniques de méditation et des rituels, issus d’une connaissance millénaire.


Video du projet de Temple pour la Paix.

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